CHAPITRE o2, PARTIE o1Torve est ce que j'appelle un ami proche et personne ne peut dire le contraire. Il était présent a beaucoup de fête pour la famille, il soutenait les personnes qui en avant besoin, en somme, il était l'épaule sur qui se reposer le temps qu'il fallait, sans que cela ne pose de problèmes. Il était une personne aimante et sympathique qui detendait l'atmosphère aux réunions de famille lorsque l'ambiance était electrique. Mais Torve était loin d'être un garçon parfait... C'était avant tout un sacré pervers et courreur de jupons, fier de sa renommé de Don Juan et de "bon coup d'un soir".
en plus de cela, Torve vivait avec deux femmes. Bon, ça peut surprendre, mais c'était simple a expliquer : il vivait avec sa copine actuelle Pauline (celle tout a gauche) qui avait sa soeur aussi dans son logie. Cette soeur en question qui était malade, atteint de nymphomanie depuis maintenant trois longues années. Elle couchait avec tout le monde et n'importe qui surtout, sans savoir ce qui lui prenait. Sarah (puisque c'était son nom) avait alors decidé de suivre un traitement chez sa soeur jumelle (Pauline) dans l'espoir de guerrir un jour... Mais c'était mal partie !
Le principale objectif de Sarah était de ne pas se jeter sur le premier venu a la première occasion. Objectif qui s'avéra très compliqué, surtout lorsque sa soeur lui annonca que son petit copain venait vivre dans sa maison, car ils étaient très amoureux tout les deux et qu'elle ne supportait plus l'éloignement ! Torve vint alors s'installer entre les deux, se ballandant très souvent en calecon ou torse nue, averti de la maladie de Sarah et des problèmes que cela pourraient engendré. C'était le gros lot pour lui !
Et Torve en avait bien profité ! Pendant que Pauline allait travaillé, il se tapait sa soeur dans toutes les pièces et dans toutes les positions possibles et innimaginables. Et il y avait de quoi faire, car l'appêtie vaurace de Sarah plaisait plus que tout a notre Don Juan, certain d'avoir trouvé l'ame soeur a travers cette nymphomane. Bien sur, tout ne se passa pas comme il l'aurait espéré !
En rentrant plus tôt du travail, Pauline les découvrit tout les deux en train de faire l'andromaque a même le sol. La réaction ne se fit pas attendre et elle pria avec violence a ces deux colocataires de se rhabiller. Elle giffla Torve et enferma sa soeur dans la chambre de l'étage.
Il n'y avait pas a dire, c'était emplement mériter. Pris sur le faite et a moitié a poil, Torve fut prier de partir sur le champ de la maison ou il vivait depuis pas loin de deux semaines, se retrouvant sans femmes, sans logie et sans vetement. Poisseux comme pas deux celui ci !
Sarah fut triste de voir s'en aller Torve et tenta de faire changer sa soeur d'avis. Rien a faire, Pauline fut stricte : Il ne remettrait plus les pieds ici, ce n'était qu'un pervers et il était hors de question qu'il continu a profiter de la situation. Elle l'insulta, l'injuria et j'en passe (et des meilleurs !)
Il partie le lendemain après avoir passé une nuit sur le canapé du salon dans sa vieille voiture a moitié defoncé, laissant deux jeunes filles meurtries et amoureuses dans une maison ou les pires immoncités avaient été commise... Mais lui ne regrettait rien, il en avait d'autres et n'était pas près de s'arreter !
Après avoir emmenager dans son appartement, il m'appella avec l'espoir que je puisse me deplacer. Je pus venir sans problème, étant donné que je n'avais pas cours et que je ne travaillais pas, je ne vis aucun inconveniant a ce que je me bouge jusqu'a chez lui.
Et a mon grand étonnement, Torve n'essaya pas de me violer, de me sauter dessus, de me sauter tout court ou encore de me toucher la poitrine. Non pas qu'il avait l'habitude de le faire, mais étant au courant de la situation, je me disais qu'il devait être a présent en manque d'affection, ce qui n'était pas vraiment le cas. Il supportait sa rupture même s'il était quelque peu affecté, s'étant épris un peu trop rapidement des deux jumelles, il avait esperé pouvoir profiter encore longtemps de ce filon. Rien a faire, le pauvre commencait a devenir un peu trop sentimental, ce qui l'inquietait. Torve n'était pas quelqu'un de très romantique, comme vous pouvez le deviner : il charmait, il s'envoyait en l'air et généralement, ça ne durrait pas longtemps. Il vivait bien de ça, jusqu'a aujourd'hui. Il se confia a moi et me parla des e-mails qu'il envoyait a une certaine princesse de temps en temps : Emma. Elle était comme une soeur, et dernièrement, il était inquiet a son sujet car elle lui avait fait part de certain malaises et mots de ventres...
Je le rassura et rentra chez moi tard le soir, ou je fus surprise d'entendre Bena me dire que l'on devait se rendre chez un medecin demain en compagnie de Sam et d'Emma pour une consultation. Lui serrait en retard, car il travaillait, mais il avait promis de s'y rendre peu importait le moment...
- Sam, je n’ai pas besoin de ça ! Je vais très bien, dit en douceur la belle Emma avec une moue boudeuse. Tu sais bien que je n’aime pas les médecins en plus !
- Je sais que tu m’en veux de t’avoir trainé jusqu’ici, mais je ne peux pas te laisser dans cette état ! Tu m’as fait très peur lorsque tu es tombé dans les pommes la dernière fois !
- C’était qu’un petit malaise …
Flash BackElle se tenait là, au milieu du salon avec une mine fatigué. Il n’y avait pas à dire, Emma tenait a peine sur ses jambes et semblait si fébrile. Samantha se leva de son siège, s’avança vers son amie avec un air préoccupé sur le visage : les événements des derniers jours les avaient fatigué toutes les deux, mais Emma semblait beaucoup plus faible que les autres jours. Elle s’était plainte de mot de ventre, mais Sam ne s’en était pas trop inquiétait…
Jusqu'à ce jour, ou Emma sentit le sol se dérobait sous ses pieds et ou elle s’étala de tout son long sur la moquette du salon. Elle sentit alors une douleur lui saisir le ventre et sans plus comprendre, ses paupières se firent lourdes pour finir par se fermer.
Prise au dépourvu, Samantha appela les urgences qui les relâchèrent dans la soirée tout en leurs conseillant de consulter un médecin rapidement.- écoute Emma, ce n’est pas grave, juste pour s’assurer que tu n’as rien de grave…
- D’accord, très bien…
Toujours repoussé par l’idée de rentrer dans ce cabinet de médecin, elle obtempéra lorsque Sam la prit dans ses bras pour la rassurer.
- Nous avons pris rendez vous.
- Très bien, le Docteur Burasovith vous recevra dans quelques minutes
Un sourire niais sur les lèvres de la standardiste fit soupirer Samantha qui la trouvait beaucoup trop maquillé. La réceptionniste leurs montra la salle d’attente tandis que…
J’arrivai en courant. J’étais en retard, retardé dans les transports en commun, et je n’avais que pour seul moyen de courir a présent pour arriver a l’heure. Quelques minutes de retard, ce n’était pas grand-chose. Mais j’entrai en trombe dans la salle, m’approchant de la standardiste avec un sourire tout en étant essoufflé. Elle m’indiqua la salle d’attente et je ne pus m’empêcher de l’interpeler au sujet de ses habits et de son maquillage.
- Vous êtes beaucoup trop maquillé et je pense que vous êtes aussi habillé très court. Si vous cherchez a séduire quelqu’un mais vous êtes seulement vulgaire, très jolie malgré tout. Vous devriez enlever la peinture que vous avez sur le visage, ça ira mieux !
Je tournai les talons pour m’installer dans la salle d’attente en reprenant mon souffle. Sam me salua avec un sourire et je remarquai le visage fatigué d’Emma qui me souriait aussi…
- Salut Emma… Dites, il est si charmant ce médecin ?
- Pourquoi tu dis ça ? me demanda Emma avec un air étonné
- Sam et la standardiste on oubliait de se couvrir ce matin, je suppose que c’est pour le Docteur !
Emma éclata de rire tandis que Samantha me jeta un coussin a la figure.
- Mesdemoiselles, c’est a vous !
Une voix calme venait d’interrompre toutes conversations, nous nous levions pour nous rendre dans le cabinet du docteur qui venait de se présenter a nous. Mr Burasovith travaillait dans un local parfaitement sain, avec une couleur dominante : le bleu. Il nous fit un sourire aimable nous invitant à nous asseoir sur son canapé. Nous nous exécutions simplement et nous lui expliquions ce qui se passait…
- Emma, pouvez-vous vous installer sur le lit la bas, je vais venir vous occulter !
Emma s’installa sur le lit calmement, elle semblait tout de même très tendu mais nous l’étions plus qu’elle, beaucoup plus. Inquiètes comme pas deux, Samantha me parlait nerveusement de l’appelle qu’elle avait reçu de Soso disant qu’il souhaitait lui parler. Et puis, après quelques examens et tests, le docteur revint vers nous, laissant Emma reprendre ses esprits. Il portait sur le visage un air qui ne présageait rien de bon :
- Ce que votre amie a n’est pas bénin. Il semblerait que ce soit un sorte d’infection, enfin, je ne sais pas encore. Il faudrait faire des prises de sang et d’autres tests dans les jours qui suivent. Je vais vous donner des adresses et des numéros de mes collègues…
- Il commence à faire nuit dehors, dit Emma comme si de rien n’était. Deedou, tu ne travailles pas ce soir ?
EN COURS !